
En quelques années, la pose non collée – tirée par le succès de la LVT -, s’est définitivement imposée dans le paysage des revêtements de sol, notamment en rénovation.
Dans certains secteurs de la construction, par exemple les bureaux, la quasi-totalité des chantiers fait désormais appel à des dalles amovibles ou des sols PVC en pose libre ou semi-libre. La rapidité de mise en œuvre séduit également les secteurs du commerce, de l’hôtellerie et des loisirs, des EHPAD ou encore les réseaux bancaires d’agences : grâce à elle, les temps d’immobilisation des locaux se réduisent, les nuisances – bruits, poussières – deviennent quasi-nulles, et les économies grimpent en conséquence. Si l’on ajoute à cela les possibilités de travailler en recouvrement, le plus souvent sans ragréage, et sans altérer les sols existants – ce qui permet de traiter des problématiques d’amiante en sous-section 4, notamment dans l’habitat social-, il est logique de constater à la fois la croissance de ce marché, mais aussi la multiplication des offres produits chez les fabricants de sols PVC ou de linoleum.
Il existe trois types de pose non collée :
La pose 100 % libre qui peut s’opérer grâce à deux techniques :