La démarche dite des écoquartiers est née en 2009, dans le prolongement des débats du Grenelle de l’environnement. Il s’agissait à l’époque pour le régulateur de donner un cadre aux expérimentations qui fleurissaient un peu partout en France. Avec à la clé des prises de décision facilitées pour les collectivités territoriales qui souhaitaient en impulser.
Ces dix ans de recul constituent cependant un socle indispensable pour projeter une vision apaisée et durable de l’urbanisme sur les années qui s’avancent, avec les objectifs ambitieux de la future loi sur l’économe circulaire. Les critiques doivent être tempérées au regard des évolutions sociétales que le label écoquartier a dû intégrer en si peu d’années.
La simple lecture de cette liste donne une idée des enjeux à venir. D’autres – heureusement ? – sont plus faciles à tenir. Par exemple, la ministre du Logement et de l’habitat durable a en 2017 demandé que le label écoquartier porte une attention particulière concernant la qualité de l’air intérieur. Sur ce point en tous cas, les revêtements de sol comme le Marmoleum apportent d’ores et déjà des solutions appréciées… et de plus en plus souvent mises en œuvre par les architectes.
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