L’entretien des sols entre pour une part majoritaire dans le coût total de possession d’un sol souple. De quoi s’interroger sur la fréquence des lavages, mais aussi le coût et l’efficacité des produits employés, surtout s’ils sont bio. Surprise, en plus de faire du bien à la santé des occupants et à la planète, ces derniers peuvent aussi devenir les alliés du gestionnaire !
Quatre-vingt-six pourcent ! C’est le poids de l’entretien sur le TCO d’un sol de résidence, calculé sur une durée de vie de 7 ans. Même si ce ratio peut évoluer à la baisse et dépend, entre autres contraintes, des exigences sanitaires (à l’hôpital, dans les EHPAD… ou les blocs scolaires), du recours ou non à la sous-traitance, voire de l’utilisation de roto-brosses et autres autolaveuses, la facture reste dans tous les cas élevée.
Ce point n’est évidemment pas méconnu des services généraux. Et certains l’ont tellement bien compris qu’ils n’hésitent pas à s’équiper de tapis de propreté à l’entrée des bâtiments, ceux-ci pouvant contribuer à baisser la facture jusqu’à 65%.
Ces outils présentent de multiples avantages : ils fonctionnent aussi bien à sec avec un fort pouvoir électrostatique permettant d’enlever la poussière, y compris sur le mobilier ; que légèrement mouillés pour un entretien léger des sols ; ou encore avec du produit de nettoyage pour les tâches plus incrustées.
Ils sont également lavables. Seule contrainte, ne pas les faire sécher mécaniquement, car leur pouvoir électrostatique s’en trouve diminué.